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© Copyright (tous droits réservés) : Philippe Ruchet à CH-1207 Genève | |||||||||||||||
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Introduction pour l'étude d'investissements dans un réseau de métros (voir aussi métrage.ch)
Genève est congestionnée. Trop d'habitants utilisent leur voiture. Pour répondre aux défis de ces années 2020-2030, une nouvelle ère de développement des transports publics doit advenir. Il ne s'agit plus de décréter comme jusqu'à maintenant, mais de consulter le souverain sur les grandes orientations et obtenir son aval, condition sine qua non pour des changements de comportement avec des transferts à effets écologiques nécessaires. Avec l'accroissement exponentiel des besoins en mobilité tel qu'on peut l'esccompter dorénavant, une organisation du transport collectif avec le tram urbain comme dispositif lourd relève d'un concept dépassé, tant pour des raisons de capacité de transport que pour des motifs de performance en terme de vitesse commerciale. Autrement dit, si rien ne change, on construit à Genève en ce début de vingt-en-unième siècle trop petit et des trams métriques trop lents, ne faisant ainsi qu'ajouter des problèmes en ayant consommé de lourds investissements. Il s'agit dès lors d'étudier une solution à l'instar qui s'articule autour de la combinaison de deux réseaux structurants, à savoir : - en premier lieu celui formé du RER (avec éventuellement des convois à pilotage d'intelligence artificielle) sur l'axe du CEVA (section intra-muros du Léman Express). - en second lieu celui constitué par un métro automatique, solution qui avait déjà été étudiée dans les années 1980-1990 avant de se voir écartée abruptement et, ô combien, à tort. S'agissant du financement, on pourrait penser à un partenariat public-privé. Néanmoins, l'approche du métro automatique de l'époque reposait sur l'équipement par étapes d'une ligne Meyrin-Annemasse sans que la perspective de rationalisation du réseau n'ait été analysée. Cette constation explique en partie ce choix erroné; pour le solde, il faut renvoyer à des postures idéologiques pro-tramway métrique. La justification à remettre l'ouvrage sur le métier tient au caractère central accordé aux possibilités de rationalisation du réseau de rabattement (trams et bus/trolleybus) dans un scénario de métro automatique. Conclusion : affaire à suivre très sérieusement. Ph. Ruchet / 8 mars 2015 et 14 décembre 2020 |
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Légende des image ci-dessus :
1er cliché : LEMAN-EXPRESS - pour le premier départ de Chêne-Bourg, rendez-vous le dimanche 15 décembre 2019 à 5 h 09 (desserte SL1 Annemasse - Coppet. 2ème cliché : A proximité de ladite station RER, voyez la statue de Louis-Favre avec son socle (3ème cliché). Ledit ingénieur pilota le percement du tunnel ferroviaire de faîte du Saint-Gothard qui s'ouvrit au trafic le 22 mai 1882. Pour sa part, l'ouvrage de base fut disponible le 1er juin 2016. La réalisation autoroutière remonte quant à elle au 5 septembre 1980. |
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